Le 3 ème courtier en assurances français avait dévoilé en 2013 son ambition d’entrer dans le top 3 des courtiers du secteur spatial en France et en Europe. Le pari est gagné 5 ans plus tard. il assoit son activité dans le domaine.
En 2013, Verspieren signe la responsabilité civile dirigeants de l’ESA qui lui permet de faire son entrée à l’Agence Spatiale Européenne. Dès 2014, il remporte trois succès majeurs, la responsabilité civile du CNES, la Responsabilité civile atteinte à l’environnement (de l’ESA, du CNES, et d’Arianespace) et la coordination internationale de CLS (filiale du CNES).
Dans la continuité de son projet d’insertion dans le domaine du spatial, Verspieren remporte l’appel d’offres construction du pas de tir d’Ariane 6. Le renouvellement en 2017 des trois programmes remportés trois ans plus tôt permet à Verspieren d’instaurer un climat de confiance. Il renforce sa collaboration en 2018 en devenant le courtier pour la RC générale de l’ESA, pour l’Individuelle accident des 7 000 collaborateurs d’ArianeGroup et gère également sa flotte automobile en France et en Allemagne.
Pour intervenir sur le marché du spatial, Verspieren s’est organisé en hub en sollicitant pour chacun de ses clients les meilleurs experts en responsabilité, dommages, construction, flotte automobile…comme l’explique Micheline Galpin-Bagage, directeur de clientèle des acteurs du spatial, « cette organisation nous permet d’apporter à nos clients une expertise pointue et une vraie qualité de servicing, de négocier des niveaux de garanties importants auprès de compagnies de premier plan et réaliser des gains financiers pour les acteurs du spatial ».
Cela a été tout particulièrement le cas pour le programme d’assurances tous risques chantiers du pas de tir d’Ariane 6 où des économies significatives ont été réalisées. De nouvelles ambitions : assurer les risques spatiaux. Et d’ajouter : « Le secteur spatial faisait l’objet d’une situation assurantielle quasi-monopolistique et nous contribuons à y remédier en jouant pleinement notre rôle de courtier conseil. La confiance des acteurs du spatial gagnée ces 5 dernières années nous conforte dans notre volonté d’aller plus loin sur le marché des risques spatiaux, notamment après décollage. »