Après Google, Apple et Microsoft, c’est désormais au tour d’Amazon d’annoncer un assistant vocal. Or dans le cas du e-commerçant, l’approche est différente : Echo (c’est son nom) est matérialisé par un appareil dédié à placer au coeur de la maison.

Il permet, évidemment, d’ajouter des articles dans sa liste de courses, mais peut également jouer de la musique, réveiller ses propriétaires, répondre à des questions, donner la météo et même raconter des histoires drôles !

La présentation en vidéo de ce nouveau gadget est prometteuse.
Pour le moment, seuls une poignée de clients d’Amazon aux USA pourront commander Echo pour un montant de 99 à 199 USD.

Une bonne façon, semble-t-il, pour Amazon de s’inviter dans la domotique.

Avec iOS 7 et iBeacon, Apple avait ouvert la voie de la géolocalsation de proximité. Basée sur la norme Bluetooth 4, cette API permet de générer des interactions avec un smartphone dès lors que celui-ci se trouve à proximité d’une borne (appelée beacon). Une aubaine pour les réseaux de commerçants.

C’est désormais le conglomérat coréen Samsung qui se lance sur ce marché a priori porteur. Le constructeur a annoncé sa plateforme PlaceEdge qui prend en charge une large palette des usages permis par la technologie et propose des outils clé en main pour la gestion de son parc de balises.

Un kit de développement devrait être commercialisé au prix quasi-symbolique de 39 USD.

Les noms des 9 métropoles labellisées French Tech sont connus depuis ce mercredi : Aix-Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Rennes et Toulouse. Chacune des ses villes doit désormais s’organiser pour favoriser l’implantation, l’incubation et l’accélération de jeunes pousses innovantes sur son territoire.

La ville de Bordeaux a notamment déjà fait savoir qu’elle visait un objectif de création de 10.000 emplois.

Initialement lancé par Fleur Pellerin, et doté d’un budget de 215 millions d’euros, le label French Tech vise à donner de la visibilité à l’international aux entreprises françaises innovantes dans le domaine du numérique.

Dans le cadre de son initiative Polaris, la fondation Mozilla souhaite “accélérer la protection de la vie privée des internautes”.
Elle a annoncé que ses ingénieurs allaient se pencher sur la technologie du réseau TOR de façon à ce que celle-ci fonctionne plus efficacement sur Firefox. De même, afin d’augmenter les capacités du réseau anonyme, elle va héberger des relais TOR de haute capacité.

Pour mémoire, le réseau TOR permet via une mécanique de routage décentralisé de naviguer sur internet de façon anonyme. Bien qu’il soit fréquemment utilisé dans le cadre d’activités peu légales, il permet surtout aux internautes des pays peu disposés à respecterles droits de l’homme d’échapper à la censure et à la répression.

Cette association devrait permettre à TOR se mieux se faire connaitre du plus grand nombre.