Cette plate-forme d’acquisition de clients et d’optimisation des ventes de produits et services financiers s’adresse à la banque et l’assurance.
Au moment où ces deux secteurs revisitent leurs stratégies de prospection digitale, le fournisseur Widmee leur propose la solution ConQuest. Sa vocation, améliorer le parcours client et accélérer la contractualisation des offre en ligne.
ConQuest est composée d’une brique logicielle qui s’intègre à des applications mobiles ou sites Internet existants, et d’une plate-forme d’administration sécurisée disponible sur le cloud. Elle intervient sur trois champs fonctionnels : la collecte et l’analyse des informations contextuelles (smart data) ; la qualification et la segmentation client en temps réel (marketing prédictif) ; la conversion et la relation client (continuité du tunnel d’achat et relances cross-canal).
Selon le fournisseur, « dès la connexion, la relation client est instaurée. Une pré-qualification des utilisateurs au moyen de quizz ou de questionnaires ludiques paramétrables permet de déterminer leurs besoins et leurs profils. Ensuite, ConQuest permet de guider le prospect à chaque étape de son avancée vers la signature numérique contractuelle. » Quid en cas d’interruption du parcours ? L’outil choisit automatiquement le meilleur moment et le canal le mieux indiqué pour reprendre contact et poursuivre la relation client de façon fluide et personnalisée. Par ailleurs, cette solution analyse en temps réel le comportement du client, l’objectif étant de déclencher des actions pertinentes lors de moments clefs du parcours.
A entendre Widmee, « devant l’arrivée prochaine d’acteurs comme Google ou Amazon, qui prévoient de commercialiser des produits d’assurance, il est devenu primordial pour les institutions financières de repenser leur stratégie de conquête digitale : vendre des produits et services financiers sur Internet exige une véritable expertise. Nous sommes dans une configuration différente de celle du e-commerce traditionnel. Les offres sont plus complexes, les parcours clients sont plus longs et les taux d’abandon plus élevés », explique Frédéric Boy.