À chaque époque ses modèles. Cobol et les autres langages de deloppement avaient popularisé les cycles de développement en V. Méthode surannée. Bienvenue dans un nouveau monde.
Web 2.0. Un nouveau monde dans lequel le digital dicte ses lois. Y compris jusqu’à celles de développement d’applications. Les générations actuelles n’ont pas eu à connaître ces moments de réalisations applicatives étalés dans le temps. Au départ, la maîtrise d’ouvrage élaborait un cahier des charges dans son coin, puis le refilait à la direction informatique qui réalisait des livrables. Entre-temps, mystère et boule de gomme. Jusqu’à la mise en production des livrables. Résultat : des écarts entre les attendus et le produit fini. Exit ces pratique d’une autre ère loin d’être adaptées à la célérité du Web.
Dans les banques comme dans les assurances, la méthode Agile est désormais inscrite dans les mœurs. Chaque matin démarre avec une rencontre de tous les acteurs de chaque projet. La spécification des besoins est déjà effectuée en synergie. Tout le monde se parle. S’explique. Une transparence qui permet d’avancer. Et d’aboutir à des applications adaptées aux utilisateurs. Comment, dans ce cas, ce dernier ne les adopterait-il pas ? Il fallait y penser.
“Mieux, les entreprises ont même compris la nécessité d’associer l’utilisateur final à la réalisation de ses futurs outils. Le sentiment d’être pris en considération, clé de voûte d’un marketing nouveau, développe fortement un sentiment d’appartenance à une communauté, celle de sa banque qui n’hésite plus à nous faire confiance. Inimaginable il y a encore quelques années, pour de fausses vraies raisons de sécurité. Ce qui n’était pas acceptable hier est désormais acté par tous les membres de chaque projet. De la Société Générale à BNP Paribas, en passant par Allianz et AXA, la co-construction n’est plus taboue. Elle est même partie intégrante de la stratégie de fidélisation. ”
Dans cette civilisation du Web où tout va vite, impensable de mettre au rebut des solutions inadaptées aux attentes des utilisateurs. Erreur stratégique qui profite aux concurrents. Mieux, les entreprises ont même compris la nécessité d’associer l’utilisateur final à la réalisation de ses futurs outils. Le sentiment d’être pris en considération, clé de voûte d’un marketing nouveau, développe fortement un sentiment d’appartenance à une communauté, celle de sa banque qui n’hésite plus à nous faire confiance. Inimaginable il y a encore quelques années, pour de fausses vraies raisons de sécurité. Ce qui n’était pas acceptable hier est désormais acté par tous les membres de chaque projet. De la Société Générale à BNP Paribas, en passant par Allianz et AXA, la co-construction n’est plus taboue. Elle est même partie intégrante de la stratégie de fidélisation. Une stratégie de fidélisation conduite souvent par des départements différents de la direction des systèmes d’information, peu… agiles à s’adapter aux caprices et exigences des applis du monde du Web. Bref, il s’agit de Start-up d’un genre particulier fonctionnant sur la base des règles des fameuses jeunes pousses qui ont fait le succès du Net. Et vous, à quand votre structure dédié aux projets Web. Pour ceux qui en ont déjà mis sur pied, de grâce, laissez libre cours à leur créativité. Vous n’en serez que surpris par leur ingéniosité.
