En l’espace d’à peine un mois, Malakoff Médéric a multiplié les ouvertures de boutiques santé. Le groupe de protection sociale compte aujourd’hui seize de ces espaces installés sur le territoire français.
En à peine un mois, Malakoff Médéric a ouvert trois nouvelles boutiques santé dans les villes d’Orléans, Boulogne-Billancourt et Grenoble. Selon Christophe Scherrer, directeur du développement de Malakoff Médéric, « les ouvertures de boutiques ne sont que l’aspect le plus visible de notre réseau multicanal ! Le rythme d’ouverture des boutiques est conforme à notre programme. Il est vrai que la rentrée a été riche puisque nous avons ouvert trois boutiques en un mois. D’ici la fin de l’année, notre couverture va s’étendre avec l’ouverture de quatre nouvelles boutiques, à Nancy, au Havre, au Mans et à Marseille. A la fin de l’année, notre réseau comptera vingt boutiques de proximité. Nous allons poursuivre le développement de notre réseau en 2013 ». Les villes d’implantation n’ont pas été choisies au hasard « la localisation des boutiques est le résultat de la conjugaison de plusieurs facteurs. Tout d’abord, nous avons tenu compte de la proximité avec notre affinitaire. Pour cela, nous avons identifié les villes où les retraités allocataires du Groupe d’une part, et le nombre des entreprises clientes et leurs salariés d’autre part, sont implantés », indique Christophe Scherrer.
Ces boutiques santé implantées en ville permettent aux clients et prospects de Malakoff Médéric de s’informer sur les produits et services, de bénéficier de conseils personnalisés, de souscrire un produit, de participer à des rendez-vous sur le thème de la prévention santé. Malakoff Médéric y gagne également en visibilité et en contacts clients comme l’explique Christophe Scherrer « en mobilisant différents moyens, Malakoff Médéric dispose d’un maillage optimal du territoire. Ce réseau multicanal permet à nos clients d’entrer en relation avec Malakoff Médéric via son réseau de boutiques, le réseau de vente à distance, Internet avec la boutique en ligne. Nous avons également développé des synergies avec notre réseau de commerciaux dédiés aux entreprises. Ceci nous permet d’être en contact avec les salariés qui souhaitent mettre en place des garanties individuelles en complément de leur contrat collectif ».
Sans dévoiler le chiffre d’affaires générer par les boutiques santé, le nombre de visiteurs satisfait Malakoff Médéric. « Si l’on considère un indicateur pertinent, tel que le nombre de contacts pris en boutique, ce chiffre est supérieur à quatre rendez-vous par jour, pour chaque commercial présent en boutique. En conséquence, le chiffre d’affaires généré en boutique est en ligne avec notre objectif », selon Christophe Scherrer.
Dans un environnement économique défavorable où les ménages craignent pour leur pouvoir d’achat et arbitrent leurs dépenses, Malakoff Médéric a défini un dispositif d’animation visant à diversifier le trafic dans les boutiques. Christophe Scherrer détaille ce dernier « en premier lieu, il y a la fréquentation générée par l’activité commerciale. Nos clients se rendent en boutique parce qu’ils ont besoin de s’équiper, parce qu’ils ont reçu un mailing ou vu de la publicité dans la presse locale. Et puis, nous avons créé des événements sous la forme d’ateliers sommeil ou nutrition. Si l’on en juge par la fréquentation, ces ateliers répondent à une attente. En outre, les boutiques permettent à nos assurés d’entrer en contact avec nos experts par vidéoconférence, sur des questions très précises en retraite ou santé ».
F.P.I.
Source:
©CAPA Conseil,
