A l’heure du digital à tout va, les citoyens multiplient parfois des erreurs et se trouvent pris au piège. Macsf leur propose un nouvel opus leur permettant de savoir quelle attitude adopter face à la rumeur sur le Net. Cette contribution constitue la deuxième du genre, publiée par l’assureur.
Si le premier opus lancé par Macsf portait sur les « Bonnes pratiques des réseaux sociaux », le deuxième se recentre sur la thématique de la rumeur. Il est abordé dans le cadre du thème « Réseaux sociaux et bad buzz, quelle attitude prendre face à la rumeur. » Pour traiter ce sujet, le porteur de risques met en avant des cas concrets, des pistes de réflexion sur la marche à suivre pour contenir une telle difficulté.
En vue de sensibiliser les professionnels de santé, son cœur de cible, l’assureur rappelle que « sur le web, la séparation entre vie professionnelle et vie privée est bien difficile à maitriser et, malgré les certitudes de certains, une information mise sur la toile est, de fait, publique puisque partagée. Un sujet qui touche aujourd’hui tout utilisateur mais dont l’ampleur des conséquences peut être démultipliée quand l’utilisateur est un professionnel de santé. Car dès lors, comment veiller au strict respect du secret professionnel ? Par ailleurs, à l’heure où la violence à l’hôpital marque les esprits, comment gérer une mauvaise utilisation des réseaux sociaux qui peut se révéler comme première étape d’une violence à l’endroit des soignants. »
Véritable guide opératoire, Bad buzz apprend à ses utilisateurs comment qualifier un message incriminé, le graduer objectivement et cerner le rôle de chacun. En fait, cet opus propose l’analyse de diverses situations et évoque les bonnes réactions à avoir face à la rumeur sur le web. Au menu des pistes de réflexion, illustrées par des cas concrets, des conseils pratiques présentant l’alliance de deux expertises complémentaires, tant en matière juridique qu’en matière de communication.
Cet outil est le fruit d’un travail conjoint réunissant direction de la communication et juristes de la MACSF, directions et responsables de la communication des hôpitaux de Marne-la-Vallée, Orléans, Poitiers, Robert Debré de Paris, Rance Emeraude et Saint-Maurice. Il est accessible à l’ensemble des personnels d’encadrement des structures hospitalières, sur commande émanant de leur direction générale ou direction de la communication.