Concurrence. Dans un environnement métier fortement concurrentiel, le time-to-market est garant d’une réactivité opérationnelle. Il passe par un déploiement rapide des applications. Dans ce contexte, des outils sur le marché réduisent drastiquement la phase de tests. Grâce à leur approche a deux axes : l’utilisation des tests automatisés à la base des messages et la virtualisation des interfaces SOA. Si ces outils sont le moteur de la transformation, reste l’essence pour le faire tourner : les données de test.
La transformation devient le maître-mot des entreprises qui veulent se différencier, a fortiori celles de l’assurance et de la banque, où règne une compétition effrénée. Lancer de tels programmes ne suffit plus. Encore faut-il produire les livrables à temps et conformes au cahier des charges, car le marché n’attend pas. Etre capable de bénéficier d’outils innovants et à même de prendre à contre-pied la concurrence est gage de différenciation. Comment y arriver ?
Si le cycle de développement ne peut être modifié en profondeur, la capacité à peser sur la phase de qualification constitue un facteur différenciant. Pourtant, pendant longtemps, les tests applicatifs ont été assimilés à une contrainte alors même qu’elles constituent une véritable assurance contre les risques (pannes, bugs, retard à l’allumage) et permettent de faire l’économie des coûts cachés liés à des pertes d’exploitation, aux pénalités de livraison et à la détérioration de l’image de l’entreprise.
ADAM introduit une démarche disruptive
La prise de conscience du caractère stratégique des outils de qualification a eu pour effet de galvaniser ce marché. Pourtant, les offres proposées sont loin d’être toutes efficaces sachant qu’elles ne permettent pas de qualifier les applications dans le respect des délais prévus. Comment y remédier ? La solution ADAM de LeftShift, extension de l’offre Green HAT d’IBM et potentiellement des autres offres du marché, est ainsi proposée désormais sur le terrain.
Elle permet d’améliorer le taux de couverture des tests applicatifs, d’optimiser la charge et l’efficacité des équipes de recette, de mettre en œuvre une politique d’intégration continue qui ne compromet pas la fiabilité du système d’information. Car comme l’explique Mark Chassy, Delivery Principal chez LeftShift, « dans un contexte de développement applicatif, la solution Adam va induire un raccourcissement de la durée des phases de tests ou la simulation des services applicatifs. A cette fin elle génère des jeux de données permettant de tester un module sans attendre la finalisation de tout le système d’information. » Cette démarche disruptive est due à la capacité de cette solution à virtualiser les services des applications futures et de générer des données qui correspondent au service tel qu’il sera dans sa version finale. Ainsi, l’entreprise n’a plus besoin d’attendre la finalisation de tous les développements pour lancer ses tests applicatifs. Gain de temps. Sachant que les modules d’une application en cours de développement sont rarement développés au même rythme, l’exploitation des outils de virtualisation de services en conjonction avec ADAM prend ici toute sa signification.
On le voit, cette solution fonctionne sur la base d’une approche par les risques. Les données définies par ADAM sont issues d’un calcul de couverture fonctionnelle qui s’appuie sur les règles de gestion. Corollaire : la garantie d’une couverture de tests dans le respect de la qualité, des coûts et des délais. Il s’agit d’aller vite et d’être sûr de produire des livrables conformes aux attendus.
Dans l’assurance où l’ANI entre en production début janvier 2016, les capacités d’ADAM sont clairement les bienvenues pour contribuer à la réduction du cycle de développement des applications dédiées. Et au bout, contribuer au time-to-market, clairement un objectif stratégique ici. Idem dans le monde bancaire où l’innovation produit est soutenue et la transformation en marche. Pour les uns comme pour les autres, ADAM constitue un pari différenciant.
Petit Déjeuner LeftShift / Assurance & Banque 2.0Comment améliorer le delivery de votre infrastructure SOA ?
Mardi 12 2015 de 8h45 à 10h30
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