Partenaire du soutien psychologique aux côtés des assureurs depuis 1997, Psya a décidé d’épouser étroitement la cause des aidants familiaux, parente oubliée du dossier sur la dépendance.
Comment contribuer à une meilleure prise en charge des aidants qui continuent de souffrir en silence dans un pays qui cherche encore une voie pour son cinquième risque ? Psya s’engage à travers différentes actions.
Mobilisation autour des aidants familiaux. Depuis plus d’un an, Psya multiplie les actions en vue de soutenir cette population. La société a par exemple développé un programme d’accompagnement spécifique pour eux. Véritable outil de survie, cette solution est proposée aux acteurs de l’Assurance, qui peuvent l’intégrer dans leurs contrats d’assurance au bénéfice de leurs assurés. Les entreprises soucieuses de la santé et de l’équilibre vie privée-vie professionnelle de leurs salariés ont également la possibilité de l’adopter en interne.
En complément de ces actions marchandes, Psya veut également faire avancer la cause des aidants. Dans cette perspective, il a animé, le 10 décembre dernier, un atelier lors de la Biennale des Aidants. Dans la même logique, tout au long de la Journée Nationale des Aidants et en partenariat avec le site www.agevillage.com, cet acteur a proposé aux 50 premiers aidants inscrits sur ce site de bénéficier gracieusement de son programme d’accompagnement. A travers cette démarche, Psya et ses collaborateurs entendent accompagner les personnes fragilisées, prévenir les risques psychosociaux, promouvoir la santé et la qualité de vie en entreprise. Pour Psya, ces activités ne sont possibles que si elles s’appuient sur des valeurs d’entreprise fortes ; des valeurs qui motivent les aidants. Dans le même temps, elle entend également, par cette action, promouvoir auprès du plus grand nombre la pertinence de son modèle de prise en charge. Le programme qu’il propose tient compte
des réalités de la vie quotidienne des Aidants, Il est facilement accessible car disponible dans un environnement Web. Et n’oblige par l’aidant à arbitrer entre le rôle qu’il assume et le nécessaire besoin de prendre soin de lui.