« AppDynamics 4.2 introduit une approche unifiée de la gestion des performances applicatives »
Assurance & Banque 2.0 : à l’heure de la concurrence généralisée et de la digitalisation poussée dans les mondes bancaire et assurantiel, quelle est la proposition de valeur que formule AppDynamics à ces deux branches d’activités financières ?
Pascal Dallioux : la banque et l’assurance constituent deux de nos principaux marchés en France comme dans le monde. Ce qui est logique quand on sait que la qualité de service (QoS) sur les applications critiques est devenue un argument différenciant pour ces métiers. L’un et l’autre ont tout intérêt à garantir la performance des applications qu’ils mettent à la disposition de leurs clients.
Assurance & Banque 2.0 : concrètement de quoi s’agit-il ?
Pascal Dallioux : les banques et les assurances ont toutes des projets de transformation digitale afin de proposer à leurs clients l’ensemble des services en ligne. BforBank, par exemple, permet à ses clients d’accéder en continu à ses services bancaires qui sont de plus en plus pointus. Ces clients, toujours plus exigeants imposent à l’IT de délivrer une qualité de service optimum. Pour y arriver, cette vitrine bancaire du Crédit Agricole a recours à notre solution d’APM.
Assurance & Banque 2.0 : comment fonctionne cette solution ?
Pascal Dallioux : il s’agit d’agents déployés sur l’ensemble des composants applicatifs et des bases de données, disponible en mode SaaS, On Premise ou Hybride. En permanence, la solution analyse le comportement de ces composants applicatifs et, dans une logique proactive, détecte le composant à l’origine de la dégradation de service avant que cela n’impacte le business. Ce qui permet aux équipes informatiques de prendre les mesures proactives efficaces pour garantir la qualité de service et réduire de plus de 80 % le temps de résolution d’incident en production. Les entreprises qui n’utilisent pas AppDynamics ont tendance à recourir à des placebos (ajout de CPU, par exemple) pour régler ponctuellement l’altération de la qualité de leur service sachant que le problème apparaîtra de nouveau quelques semaines plus tard. Et pour cause, ils manquent de moyens pour détecter précisément l’ampleur des dégâts. Outre la capacité de diagnostiquer pro-activement l’origine d’un problème, notre solution introduit une approche unifiée de la gestion des problèmes applicatifs et de la dégradation de services (bases de données, serveurs d’application, infrastructure, applis mobiles, services tiers, etc.) depuis la mise en production de notre nouvelle version, la 4.2
Assurance & Banque 2.0 : quelles sont vos références dans la banque et l’assurance ?
Pascal Dallioux : Barclays, BforBank, UBS, Nasdaq, et bien d’autres grandes institutions financières françaises et internationales dont nous ne pouvons citer le nom exploitent AppDynamics au quotidien.